Et voilà! Même moi, si intellectuel et si distingué, je n'y échappe pas: dans la liste des mes articles les plus lus (voir page d'accueil en haut à droite), lequel arrive le premier? Celui qui s'intitule : "Sexe en gros plan" !... Allez-y, vous ne serez pas déçu...
Donc j'ai compris, je ne vais mettre que des mots du genre "cul", "fesses" "porno" "clitoris" etc. dans mes titres, pour attirer les clics. Clitoris, clics torrides...
Ce qui m'étonne le plus, c'est que le deuxième c'est : "Les cadres aiment lire la presse". Il y a peut-être un sens caché, une contrepèterie, dans ce titre, je ne sais pas, je m'interroge...
L'autre jour, quelqu'un me disait que je suis d'aussi mauvaise humeur, en général, que Jean-Pierre Bacri : il se trompait, je le suis beaucoup plus!
Allez, salut les internautes amateurs de sexe: je vais inventer pour vous le code CQFD (cul, queue, foutre, doigté). Ce sera une sorte de cryptage de mes textes qu'on pourra lire dans un tout autre sens que le sens apparent.
Mais ce code, je vous laisse le deviner, c'est plus drôle...
Je mettrai du CQFD dans tous mes mots-clés et autres méta-tags, je vais devenir le site numéro un dans le monde!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

En attendant mon rendez-vous au nouveau siège des Echos, près de la Bourse, à Paris, je prends une photo du hall, impression- nant!
Bon, je m'entraîne, je m'entraîne...
Je voudrais remercier tous ceux qui m'ont envoyé des e-mails en chaînes pendant tous ces mois.
JOHN HEARTFIELD



Je vous jure que je n'y suis pour rien mais on m'envoie régulièrement diverses photos de fesses:
Quand les médecins ne comprennent rien aux douleurs de leur patient, comme ils ne veulent pas perdre la face devant lui, ils parlent alors d'une "maladie idiopathique": ça fait sérieux, le patient opine, demande "c'est grave, docteur?" et le médecin prescrit des analyses complémentaires. Ouf! Il a échappé belle au désastre.
Moi, j'étais gamin. Le front collé contre la vitre dans le métro du matin, l'oeil glauque, je regardais défiler les panneaux pub, émergeant du noir dans le bruit des rames: "Dubo... Dubon... Dubonnet ..."


